néeq ; qulelle s’avance d’alaord sans enêtœaperçue. u Rangezwous douopvous gèaeœle carvice.·—·e-· ’ ». Allons, vous avez failli me faire briser le — » nogat. uelluiavienlz la question 5 ai Quefaiœ•·vous ieiP » adressée par unesœurdolaÉVâsitation. ’ 1 : Que veut cette Iiimma P on demande presque en même temps une religieuse du ·Sacré-Cœur. -«-··x¢ Madame désire quelque chose ? » diaiuten rogativemeut une chanoinesse qui paraît présider ’ - W ’ à. tnuà ces apprêts. xa Demoiselle Marie, vwoyaz un sa peu ce que madame désire ? · ». - Demoiselle Marie s’approo}ie d’Adèle : :« Que souhaite madame ? -· ’. - u.
- ·— sa J e souhaiterais avoir l’honnem· de parlerà monsieur le curé. · ’ ’
- »· » Maia si ·vo\1s avez quelque ohose de ’ » pressé à lui dire, vous pouvez mele communisa quer, o’est commeai vous parliez à lui-même, je lui errreudrai un fidèle compte ; d’abord, B » e$t-ce pour affaire du culte ou pour affaire u personnelle ? — ·
— » Taurais besoin de l’entretenir en par- ·— · ’ » tioolier. 2 ’·· · · ’ ·.’ ·
’ · ’ —·· ai En particulier, ’ma chère ! oh ! l’on·’n’e ’ » parler pas comme cela à M. le eure ; ’ ’ · ’ — » ·Faites-lui par écrit la demande d·’une
