Page:Vidocq - Mémoires - Tome 4.djvu/191

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ii us audience, et s’il juge àpropos de- vous renevoir, il vous ’ — » Il me répondra, demain PBUIÈ-hl ! il ». plnstemps, — ai Si vous êtes si pressée, illw semble I, »s que vous pouvez bien me confier le motif ’ ». qui vous amèno. ’ «— ». Je-ne puis- le dire qu’à M. le curé. ’ — ; »p Ah ! c’est différent, je ne veux pas le · · savoir : si je vous fais cette question, c’est uniquement dans votre intérèt....., ., vous avec des secrets, gardez-les madame, gardez les ; je suis bien bonne de m’en occuper". —e- sa Puisque demoiselle Marie est la gou=· vernante de céansg, di]: une sœur du pot, qui avec des fines herbes et des upchois s’amuse à dessiner sur des assiettes les instruments de la passion ». pourquoi lui faire un mystère de ’n votre démarûhü ?.. — » Chucun à ses raisons, ma sœur. ’ —·· px Dieu nous garde de chercher à pénétrer. les vôtres, ma chère enfant, ce n’est pas la ’•¤. ·¢ll1f-i0Siilé »(]’tlil10\l€g, g1titl€ ; nous, être curieuses ! ’ ix ô doux Jésus ! ce n’est pas notre défaut ; cependant j’estime qu’il vaudrait mieux pour Pl. vOu$, P0\1§ Q¥pilQ}lCl’ £18 Slllliç.