Page:Vidocq - Mémoires - Tome 4.djvu/192

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Mais cessez de ·sollicite1·’madame, ’crie — e ’ » ironiquement la chanoinesse ; elle n’est· pas obligée de s’ouvrir à vous...·

— » Oh ! je vois ce que c’est, reprend demoiselle Marie, c’est encore quelque caimandeuse, il en plent ici, on ne voit que de ça ; on dirait u » qu’il n’y a qu’à se baisser et-en prendre". ; p ~>· les aumônes, les aumônes, elles ne sont ’ » pas déjà si abondantes ; jamais nous n’avons été plus obérées : et puis nous avons -nos Pa\1VI’8S.·.. " a ·

-4- » Mais ne vous démanchez donc pas mal à propos, vous ignorez cè ’que je veux, ·et ce ’n’est pas à vous que je prétends m’adresser. — » · Voyez-vous Yihsolentel · ’

— » Le cœurhaut et la fortune basse, observe in la chanoinesse ;’elles’so-nt toutes comme cela. -1- la ·on’doit être liumble quand on n’est pas ’ » riche, remarque la sœur de la Visitation. ’ — · » ’Personne n’est plus charitable que moi, gn affirme la sœur du Sacré-Cœur ; mais j’àime que l’on soit soumis : ah c’est bien- joli la souk mission ! si madame nous avait fait part de cé qulellè veut, nous nous serions peut-être lait inn un plais’i’r-de lui prêter ï1otre’appui·. ° in ~ · Au, . même instant, cet état-major de gou-