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Page:Vidocq - Mémoires - Tome 4.djvu/199

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l’Extrèuie-OneUou ù un malade, · l’a.envoyé ad Patrer". Allez, il n’e peséùé regrewéu. ; mais meiutenemz ça va bien, et ça ne peut manquer d’aller de mieux en mieux. Quand nous aurons un tabernacle en.or, et n’en désespère pas, nous avons déjà le soleil, tout le monde e’en sentira, moi comme les autres. · H n’y a que cette maudite chambre qui nous n treéessem Sims elle, je vous réponds que n nous serions bientôt. eu-dessus de nos affaires.

-- n Eb quoi la vous avez trop de loyer ? × » Neu, 11011, ce 11’est pas ça. Je m’en-· n hends.·«Al’aide de Dieueiï de la Congrégation, · p nous viendrons à bout de nous en débarrasser. Mais vous êtes femme, et ceci est.au-·deseue A c votre portée... Puisque vous venez de la cure, vous n’ignorez pas qu’on y prépare uu n festin splendide Ces messieurs se ressemn blent, ce n’est pas pour des prunes, j’en-suis. sur, ils vont délibérer, c’est pour prendre une décision. Il y a quelque chose qui se · >> mitonue, j’en mettrais ma main au. fem Que n le Seinr-Espnit leur prête ses lumières ; ils n’en ont pas besoinyje le sais, mais ça ne nuit pas... Ab ! tandis que nous sommes à