Page:Vidocq - Mémoires - Tome 4.djvu/200

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

un.nin¤n.n•

causer, voici. justement M. le curé ; si je V ».n’avais pas làithttention, il allait- vous échapper, Dépêohez-vous, dépêehezwous, c’est cette mine rougeaude, ce bel homme qui au ’ le gros ventre. Quel embonpoint !... Il repré-* sente, celui-là, au moins, je ne vous ai pas trompé. Allez, il s’approche du bureau des naissances... Ah ! c’est qu’il va apposer son », seing sur les registres de l’état civil : c’est là ·’ ’ » encore un vol qu’on nous a fait. Ne le dé- I rangez pas ; mais, dès qu’il aura fini, vous ne risquerez rien de- l’aborder. Vous verrez ’ » comme il est alifable, quand on lui revient. s — n Puissé-je lui revenir ! » soupira Adèle en se séparant du sacristain ; et pour être ài- même de parler au curé aussitôt quiil déposera la plume, elle va se placer derrière le ’ Enuteuil où il est assis. Après avoir para phé quelques feuillets, le pasteur se retourne, et laissant tomber sur Adèle’l’un de ces regards ’ étudiés, dans lesquels le sentiment de l’un por- · tunité se cache sous un faux semblant de bienveillance. « Vous avez quelque chose à me dire ? » - lui demande-t-il de- ce ton doucereux, dont Ya ppreutissage se fait à Saint-Acheul. ’ A. — « Oui, monsieur le curé. ·.