Page:Vidocq - Mémoires - Tome 4.djvu/249

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un vrnooq. ’sa ’ FnÉnÉ1uc. » C’est du charbon perdu. Anima :. » Perdul... Non, non, pas perdu ; il ’sa ne veut pas nous tuer, qu’il nous fasse vivre. · FRÉISÉRIC. » Que voulezivous dire ? ’ ADELE. ai Que nous forgerons des clés ; nous ferons comme les autres. L ’ ’ I Susamm. » Parle bas, malheureuse ; si l’on nous entendait ! A ’ Anim ;. » Qu’on nous entende, qu’on ne · ’ » nous entende pas, que m’importeP si l’on nous dénonce, en bien, l’on nous- jugera, il n’en sera que si tout le monde faisait bien, les juges n’auraient’rien à faire. Allons, al’lons, dorénavant je ne serai plus si bête d’en- ’ durer la faim : les bons pàtiront pour les mauvais, tant pis pour ceux sur qui ça tombera ; on ne nous en donne pas·, on refuse de nous en faire gagner, il faut bien en prendre. Puisqu’on nous y force, pu, isqu’on ne veut pas que nous soyons honnêtes, je vais devenir la plus grande coquine que la terreai ait portée. Si l’on m’attrape ; au boutudu fossé la culbute ; jaurai encore eu quelques bons moments...Tenez, je ne me reconnais plus... il me semble qu’à présent je ne me ferais pas Tous xv. ’ 16 ~ ’