Page:Vidocq - Mémoires - Tome 4.djvu/250

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Mé ifrmoinni

plus scrupule de tuer un homme que d’Égor.· ’ > »’ger un poulet. ’ ’i

Hnunrnrrn. » Ne dis pas ça, Adele ; c’est offenser Dieu ; c’est contre la conscierîce. ADÈLE. n Dieu ! Dieu ! ilne nous aurait pas donne une conscience pour nous faire mourir de laim... Dieu ! je le renie... La conse·î’è’i1ce ! qu’est-ce que la conscience ? Ayez-en dame de la conscience, de la probité ! vous en avez vu »l’expérience, elle est belle ! " ·— ” ’ Fnénénrc. » Savez-vous-, mamesellc Adèle, · que ce n’est pas bien de tenir ce langage. Je ne suis pas plus contenu que vous. :. Mais s’îl< s’agit de tuer, je n’en suis plus.. ;, ’ · Susanuia. » Elle n°œt pas non plus si niée u chante ; ce qu’elle en dit, c’est de Houàe} le ’ » eœur n’y touche., —. ’

Hnmmmrrn. » C’est la colère ; màis c’est-bien’ » loin de sa pensée.

’ Annnn » C’est vrai, netuons personne". Mais n écoutez, il faut manger, j’en reviens toujours ’ là, et nous n’avons qu’un moyen ; La ~fàim fait sortir le loup du bois zsivous m’en¤erovyez, · au nous irons à la recherche d’une affiaire, "et des que nous lltwfons trouvée, nous mettrons les fers au feu ; qu’en pensez-=vous ;’meQ amis ?