Page:Vidocq - Mémoires - Tome 4.djvu/270

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un ninoxnni Mme Lomann. n Si vous ne venez pas, je vais »’le làcher ;àla garde ! à la garde ! » La fruitière revient accompagnée du serrurier qu’elle est allée chercher.

« Ah ! que vois-je ? le bourgeois d’un côté,

la bourgeoise de l’autre ; que leur sera-t-il arrivé ? en ! quoi Pappartement est ouvert. LE Snnnumnn. » Ils auront voulu jeter la n i’porte en dedans et ils se seront iichus les n quatre fers... ’ Mm Loumnn (se relevant). » Aie ! aie ! j’ai les jambes tout écorchées. M. Lomimw. » Tai le dos en marmelade... Mme Lomsxnn. ’ » ’Il n’en est pas moins vrai D » que si vous niaviez pas perdu la tète, nous les sa aurions arrêtés ; regardez, je lui ai arraché son tablier. ’ 1 M. Lounann. » Ils étaient au moins une n douzaine, et puis cela s’est fait si vivement, je n’y ai vu que du feu........ ’ Mme LoMn.4nn. » Ma chère madame Bouleau, ils m’ont tous passé sur le corps ! quel as’saut, grand Dieu !...j’en suis blessée à toutes D » les places... Soutenez-moi, je vous en prie... soutenez-moi !... M. ’Lommnn (au serrurier.) » Mon ami,