un vxnooç. 20 W pv prêtezsmoi votre appui, pour aller à mon secrétaire... Mme Lomnsnn (entrée la première). « Ah la chambre est dans un bel état 1 nous sommes volés l dévalisés l.., .. M. Louunn (tombant dans un fauteuil Les scélérats l ils ne nous auront laissé que n les yeux pour pleurer ! LE Smuwxunn. » Je m’accommoderais bien de leurs restes. LAFnUrr1i :1uz. » Et moi aussi...... Mm° Loummn. i< Il faut faire prévenir le ns commissaire, pour qu’il dresse un procès verbal.
M. Loumknn. » Mais comment auront-ils fait pour entrer ? o LE·SEBIlUB.IER. » Ce n’est pas malin, avec des fausses clés. Il y a tant de gredins l » (Il examine la serrure ·, et retirant de l’intérieur un petit anneau de fer dans lequel est passée la broche.) « Je ne su is plus surpris que vous •>.n ?ayiez pas pu l’ouvrir : ils y avaient mis bon ’ ordre ; ce doit être quelqu’un de l’état qui a fait cet anneau—.·Où est le tablier qui est resté dans les mains de madame ?. · Mm° Loumnn. » Le voici.. ’
