Page:Vidocq - Mémoires - Tome 4.djvu/272

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nos nations : LE Snnxnimm (vivement ému). » Qu’on ne sait guère avec qui l’on vit l Un camarade !.. ’Je le croyais honnête ; j’en aurais mis ma main au feu. Aqui se Ber ? M. Lomnxnn. » Que dites-vous donc là ? I Le Snnnvnmn. » Je parle à moi-même.... Malheureux l · M. Lomxnn. » Le malheureux, c’est moi. LE Snnnnmnn. au Il y en a encore de plus malheureux que vous (montrant Yagrafe du tablier Vous voyez ce crochet, c’est mon ouvrage. Il y a environ onze mois que me (n trouvant à la Courtille avec des amis, l’un d’eux, qui en était amateur, me demanda si je voulais le lui vendre ; je lui dis que je nele vendrais pas, mais que s’il lui faisait plaisir, jele lui donnerais volontiers ; il accepta, nous n » régala de quatre litres, et depuis ce moment le crochet lui appartient, à moins qu’il n’ait changé de maître. M. Lommum. » Et vous nommez cet ami ? LE Seanvnxen. » Frédéric ; c’est un confrère. — M. Lomme. ia Son compte est bon. Madame Bouleau, allez de ce pas chez le commissaire, racontezêlui que nous venons d’être — · » assassinés, ma femme. et moi, et priez-le, v