Page:Vidocq - Mémoires - Tome 4.djvu/379

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il faisait se petite profit. » La proposition ’ niest pas très claire, John se charge de l’interprëter. «· Milord, dit-il si ùisam à ’ n Paubergiste ides signes dans le sens d’une I accession pleine et entière, xnilord depusera · quinze cents Francs dans le bonnet quevoiei ; vous en déposerez autant, et les trois Éille francs seronteufermés dans une armoire dont ’ milord gardera la clé ; milord va s’ubse-uter sa pendant huit jours pour quelques affaires’i indispensables, vous ne disposerez pas desdn. appartementarantle trois dumois produise ; si à cette époque nous ne sommes pas de re·~ ’ I tour, vous pourrez Taire ouvrir l’m•mo ire, et i. les trois miile francs vous appartiendront. Si u. au contraire nous sommes revenus (111, ü ne VOI !8’COl1VièI]HB plus de tenir le marché, vous nous remettez ie lziozmet avec son contenu, et · ’ » tout est dit. Je présume bien que vous 11’aurez pas l’env¢i-e de veus dédire ; mais milord est ’ si dans l’usage de prendredetçlles précautions ;. — » Pnisquec’estl’¤1s¤gede milurd, je-suis · · prêt à tout pour leszrtisiaire. . ’ -- » Ab ! vo voler : faire plaissii ;·£·1u0°a ?-’. — n Milord, je vous demanderai seulement la permission d’aller chercheiwargeut. ’. — ’ 24.