Page:Vidocq - Mémoires - Tome 4.djvu/380

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on · ninoznns

— » Allez, allez, mossio Pauperche, allez, ’ mx faites plaissirà mo-a. »

° Uaubergiste sort, et John descend après lui, afin de le catéchiser ; il s’agit de battre l e fer pendantquiil est chaud, il s’y prend si bien qu’au lieu de quinze cents francs, Yaubergiste en donnerait le double ; ou par lui-même, ou par ses connaissances, il est promptement en mesure d’eFli=: ctu er le versement, alors il remonte apportant les espè=· ces en or d’après le conseil de John : milord, son nlanteauisur les épaules, se promène en long et ’en- large. «·C’était vo, vo avez le contribuchen ? » - — n Gui milord, je · viens mettre’au bonnet. — » Vo venez metté à la bonnette, ah ! ai brâve, brave., » Ilprend le bonnet de coton, et le tenant ouvert avec les deux mains : « ché’ - » tez dans la profond, d’abord lïrr à mo-a. » Ifaubergiste jette successivement les quinze piles qui sont sur la table, et quand il ·a fini, il se dispose à prouver quiil ne manque pas une E obole de sa quote-part. « Ah- ! mossio Pauperche »·’·vo-cagiénez à mo-a bocop de peine, vo mé faites injori por le manifestaohen de confiance en » que ché mctté en l’integrity de vo ;’chétez votre contingent sans nombre ment aucune. » L’au-J bergiste ponctuel à suivre les instructions qu’il a