Page:Vidocq - Mémoires - Tome 4.djvu/416

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— » Mais, messieurs....

-·— » Ah ! tu es entêté, tu peux te taire maintenant ; avant cinq minutes, tu seras trop

n content de nous apprendre ton secret. (Un ’ · » grand feu était allumé à l’àtre.) Camarades ! ’ à commanda le scélérat, chauffez le citoyen. » ’Mais, tandis qu’on le livre ai h plus horrible ’des tortures, les cris perçants d, Éun homme qui se débat contre des chiens furieux, attirent tout à coup l’attention des brigands : l’individu sur ’lequel les animaux assouvissent leur rage, est un des garçons de ferme qui, ayant brisé ses liens, s’est sauvé par un soupirail, afin- d’aller chercher du secours. Par’une fatalité inconcevable, les chiens ne l’ont pas reconnu. Surpris de cet événement dont ils ne peut s’expliquer la cause, Salambier ordonne à l’un, de-ses compagnons de voir ce qui se passe au-dehors ; mais, à peine le chauffeur paraît-il dans la cour, que l’un des chiens s’élance sur lui. Pour ne pas en être dévoré, il est obligé de rentrer en toute hâte. Sauvon.s-nous ! sauvons-nou.s· ! A ce cri, qu’il profère avec un accent de terreur, saisis d’épouvante, tous les membres de la bande se précipitent par une croisée qui donne sur la camp ;-1gne.... Ils fuient.... Au même instant, le