Page:Vidocq - Mémoires - Tome 4.djvu/48

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•• · xtnaumntandis

que vous donniez un coup de canif dans le contrat, votre montre a disparu. ’ ’ -·—· ». Je vois bein qu’on ne peut rien vous cacher. Oui, c’est vrai. i ’

— n Alors, pourquoi me faire un conte ?’ —··· n C’est qu’on m’a dit qu’il fallait dire comme ça, pour retrouver ma montre à quantiëme d’argent, de cinquante-cinq francs. -·—·· n Pourriez-vous indiquer la maison où n vousètes allé avec cette femme ? - ·—·· au Oh ! pour ça oui ; c’est’zune maison zau u premier, dans une chambre, avec une table, »» faisant le coin de la rue. ’ I -· la Voilà, ma foi, des renseignements bien ’ précis pour arriver à la découverte ! — » Ah l tant mieux ; je’retrouverai ma · n montre, n’est-ce pas monsieur ? -·> — » Je ne dis pas cela ; car vous m’avez donné un signalement si baroque. ’ · — » Comment l est-ce que je viens pas de vous dire tout à l’heure, ’â la minute, qu’elle · avait les yeux rouges ; c’est-à-dire, s’entend, >S un jupon rouge, avec des yeux bleus, et. un n bonnet de dentelles ; c’est-ti pas clair, des dentelles ? et puis’, je ne me souviens pas dela couleur de ses bas’ ; mais je sais bein qu’ellQ