Page:Vidocq - Mémoires - Tome 4.djvu/49

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

ni vnooç. si n avait des ficelles à ses jarretières, et que sesu souliers tenaient zavec ; après ça, il n’y a pas. besoin de vous mettre les points sur les i ; vous ss saveà ce que parler veut dire. Sitôt que vous m’a-urez fait rendre ma montre, je vous paierai chopine, etencore dix francs que je vous donnerai pour vous boire avec vos camarades. —· » Grand merci, je n’agis pas par intérêt.

—=· Il Toutça est bel et bon, il faut que le n prêtre vise de-i’autel·, il faut que chacun vise de son métier. · -· » On ne vous demande rien. ’ —·· »s C’est bien ; mais vous me la ferez rendre, ma mont1·e à quantièmc ? —·î- » Oui, si on nous la rapporte, je vous · la re=nverrai— » Je compte sur vous, au moins : n’allcz la pas me mettre dans la boîte aux oublis. — » Soyez tranquille. ’ · — » Bien le bonjour, monsieur le maître. — 5 Au revoir. — Oui, jusqu’à la prochaine occasion. » Le vigneron congédié, avec tout l’espoir que méritait l’attentat conjugal qu’il avait à se reprocher, je vois entrer un de ces bons boutin