Page:Vidocq - Mémoires - Tome 4.djvu/54

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-· » Por le derechen, chai dis à vo qué mon l’ame, il se nomme madame Bécoot, parce que chai souis mossio Bécoot, dé le fa »- mille à mon journélle dé frère, sé hapw pellé Bécoot, to comme notre père qu’il’était au Bécoot aussi. Mon l’ame, il a éposé mo-a l’an dix—·houi cent quinsse, en London : il était bel, il était blond ; son z’ioux il était blac (noir), sa nez il était reconimandaiple, . son dent blanc et petit ; il avait beaucop dé... dé mamelles, il savait parlé français encore meillior qué mo-·a... Si vb décovrez son démore, chai pa féri preindre mada’me Béécot et incontinent nx. conduire en le paquebot por London. — » Je crois vous avoir dit, monsieur, que

» ce n’est· pas moi zqui ine chargerai de la

surveillance ; maisje vous mettrai en relation >i ; avec- une personne qui entrera parfaitement an Tdans vos vues. Givet, .allez-moi chercher le duc de Modène, et ditesèlui de venir de suite sx avec le père Martin (le duc nde Modène était »Q le’sobriquet d’un agent secret, homme de ’ Lu ·b¤n-ton’, que’jelançais dans les sociétés où

» lïon jouait ; · · i’ ·’ ·

is Oli ·l oh ! vo’donnez à iup-aÉoun ?’do-uc-· que, chai souis enchanté, oun douque· !’S’i-l