Page:Vidocq - Mémoires - Tome 4.djvu/55

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si vxpooç. M

povait surprendre mon l’ame avec ce hofFé•· cier, la divorce qué chai volai, il serait comme oun coup dé la tonnerre. ·

Je réponds qu’il vous les fera trouver ’

»· ensemble j je suis. ’inême persuadé- qu’il ou vous les fera prendre au lit, si cela vous ’un <}onvient :· ’.- Q · · ’

-· —·—· » ·Oh· !·’oh ! Dahs la lite couchés ; c’est — » ’oune chose.bocop · meillior ïpor la divorce. Por l’é videince dé crim-·con délicibse la lite einseimblen. Ahl mossio, ’chais puis a vo bo »- cop reconnaissant. · » ’

Le duc de Mbdène ne se- fit pas long-temps ’ attendre ; dès qu’il fut- entré, M. Bécoot s’étant le.vé, z-et l’ayant salué d’une triple révérence, lui· parla- en ces termes : ’

¢• Hossio. le doucque, j’avais bésoin que vo rendiez service à oun épouse malliouroux

qui’.était
désolé’par= son l’ame ; · »· ï · V ’ ’ I ·

’ Ifagent à·’qui là méprise- de- Yanfçlàls’n’avait pas. échappé, ne manqua pas de prendre l’air d’un ?portance=qui convenait sa titre dontwon lle gratinait. ?AprÈs·= avoir conclu avec"·dig’nité· le marché pour ses honoraires etpris note desiinè dictions que M.: Bécdot était ài même de’fournir, il* promit de se mettre iii1médi’ateme¤t1t’en cam-