4 vol. grand in-folio. Paris, de 1820 à 1842. — 2me édit. (inachevée) 2 vol. in-4o. Paris, de 1826 à 1835.
Cet ouvrage qui peut être considéré comme une suite à la Ménagerie du Muséum par Lacépède, Cuvier et Geoffroy, a été presque entièrement rédigé par Frédéric Cuvier.
II. MÉMOIRES, NOTICES ET ARTICLES SUR LES SCIENCES ZOOLOGIQUES.
1. TRAVAUX SUR L’ENSEMBLE DE CES SCIENCES.
A. Unité de composition organique et Théorie des analogues.
Journ. compl. des sc. méd., V, 340, et Ann. gén. des sc. phys. de Bruxelles, III, 263 ; 1820.
Ces règles sont relatives à la détermination des organes, que l’auteur montre devoir être fondée principalement sur les caractères de connexion, comme il l’avait établi déjà dans le t. Ier de la Philosophie anatomique. Voyez Chap. VIII, p. 211 et suiv.
Journ. compl. des sc. méd., XIV, 241, et Mémoires de la Société linnéenne de Paris, II, 130, et extrait, Mémoires du Muséum d’histoire naturelle, IX, 229 ; 1822. Voy. aussi Rev. médic., X, 20, 1823.
Ce Discours, dans lequel l’auteur résume ses vues sur la Théorie des analogues, a été réimprimé en tête du second volume de la Philosophie anatomique, p. xi à xxxiv.
Paris, in-8o, 1828. Imprimé, sous le titre de Discours préliminaire, à la tête du Cours de l’histoire naturelle des Mammifères.
Rev. encycl., XLVI, 20; 1830.
C’est une des pièces de la discussion académique de 1830, toutes réunies (voy. p. 382 et 422) dans les Principes de philos. zoologique.