En appendice à un article de M. Martin Saint-Ange, Rev. encycl., XLVI, 709 ; 1830.
Résumé des différences fondamentales qui existent entre la doctrine d’Aristote et celle de Geoffroy Saint-Hilaire.
Gazette médicale de Paris, II, 380 ; 1831.
Cette note a pour objet d’établir que l’expression : Unité de composition organique, est préférable, au point de vue philosophique, à l’expression nouvelle, proposée par Dugès dans le beau Mémoire dont nous avons donné un extrait, Chap. XI, p. 385.
Hermès, no du 17 septembre 1836.
Comptes rendus hebdomadaires des séances de l’Académie des sciences, IV, 537 ; 1837.
Ibid., VIII, 673 ; 1839.
Voyez encore sur l’Unité de composition et la Théorie des analogues, outre les ouvrages généraux de l’auteur (p. 421 et 422), tous ses Mémoires d’anatomie philosophique, et l’article Nature, ci-après cité (p. 429).
B. Variabilité des êtres organisés, et succession des animaux à la surface du globe.
Mém. du Mus. d’hist. nat., XVII, 201, et Ann. des sc. nat., XVI, 34 ; 1829. Voy. aussi le Globe, VI, 895 ; 1829.
C’est dans ce rapport que Geoffroy Saint-Hilaire a abordé pour la première fois (sauf quelques indications données, en 1825, dans le Mémoire sur les Gavials ; voyez plus bas) la question de la variabilité des espèces. Voy. Chap. X, p. 345 et suiv.