le véritable créateur de l’art du Taupier, jusqu’alors livré à la routine la plus aveugle. Geoffroy Saint-Hilaire a voulu sauver de l’oubli le nom de Lecourt et les services rendus par lui à la société.
Recueil publié par l’Institut, in-4o, 1829.
Ann. des sc. nat., XXII, 188 ; 1831.
Journ. complém. des sc. médic., XL, 279, et Rev. encyclop., LI, 523 ; 1831.
Recueil publié par l’Institut, in-4o, 1832.
Recueil publié par l’Institut, in-4o, 1832, et Rev. médic., année 1832, II, 433.
Rev. encyclop., LIX, 523 ; 1833.
Recueil publié par l’Institut, in-4o, 1833.
Journal le Temps, novembre 1835, et à part, in-8o.
Cet article est, en grande partie, extrait de l’Introduction des Notions de philosophie naturelle. L’auteur montre Napoléon méditant, tout jeune encore, sur les plus grandes questions de la philosophie naturelle, et regrettant, en Égypte, de n’avoir pu consacrer sa vie à les résoudre. C’est la première révélation d’un fait historique, confirmé dix ans plus tard par la publication, due à M. Sainte-Beuve, d’une remarquable lettre de Napoléon à Laplace (Revue des deux mondes, mars 1845) ; lettre qui devait faire partie des pièces justificatives du premier volume de l’Histoire du Consulat et de l’Empire par M. Thiers.
Encyclopédie nouvelle, III, 105 ; 1836.