Page:Vielé-Griffin - Le Domaine royal, 1923.djvu/51

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Tantôt l’éclat d’un glaive et, tantôt, le chant frêle D’une lyre où la vie à son rêve s’emmêle — Comme un écheveau d’or en histoire noué — Qu’il m’est doux que, par toi, mon geste soit loué, Et que l’ardent pays, dont chaque cep aspire Le jeune sang goutté des veines d’un martyre Guerrier, confonde, ainsi, au vieux mot redouté : Bellum ! l’ivresse enclose en sa propre beauté. »