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Je guette des voix à l’orée
Plus pâle, là-bas, vers la plaine ;
― Rien ne sonne à travers la forêt
Que ma voix et mes pas qui peinent.
Je guette des voix à l’orée
Plus pâle, là-bas, vers la plaine ;
― Rien ne sonne à travers la forêt
Que ma voix et mes pas qui peinent.