salut ! — Adieu, humiliation, haines, sarcasmes, travaux dégradants, incertitudes, angoisses, misères, tortures du cœur, adieu ! Oh ! quel bonheur, je vous dis adieu ! — Si l’on savait ? si l’on savait ce bonheur que j’ai… on n’hésiterait pas si longtemps !
Ô Mort, Ange de délivrance, que ta paix est douce ! J’avais bien raison de t’adorer, mais je n’avais pas la force de te conquérir. — Je sais que tes pas seront lents et sûrs. Regarde-moi, Ange sévère, leur ôter à tous la trace de mes pas sur la terre.
Allez, nobles pensées écrites pour tous ces ingrats dédaigneux, purifiez-vous dans la flamme et remontez au ciel avec moi !
SCÈNE VIII.
Que fait-il donc ? Je n’oserai jamais lui parler. Que brûle-t-il ? Cette flamme me fait peur, et son visage éclairé par elle est lugubre.