Page:Villiers de L'Isle-Adam - Nouveaux Contes cruels.djvu/162

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de ses deux amis, il y mène une existence de radjah.

J. Bréart et Eusèbe Nédonchel sont toujours à Paris. Tous deux, en nobles « esthéticiens » s’attardent, chaque soir, au fond de ces tavernes hantées de nos jeunes écrivains futurs, auxquels ils s’efforcent, à coups de théories, de démontrer « qu’il faut toujours voir les chosestelles qu’elles sont. »