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Page:Villiers de L’Isle-Adam, Premières poésies, 1893.djvu/23

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IV


<poem>Rêvons ! les flots d’argent s’étendent, solitaires ! Leurs cimes vont briller au fond de l’horizon.. Et notre esquif, bercé par les vagues légères,

Flotte au loin, comme un alcyon.


Golfe de Gênes, mars 185...