Page:Villiers de L’Isle-Adam, Premières poésies, 1893.djvu/37

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» Comme un djinn des savanes,
» Plongeant son front maudit ;

» Ni, dans ce bois où j’entre,
» Enroulant son long ventre
» Jusqu’au haut des palmiers,
» Le serpent vert et chauve
» Dardant sa langue fauve
» Sur le nid des ramiers ! »