détriment, de clore définitivement cette affaire par un arbitraire décret qui abroge, sans appel, jusqu’à mes droits d’accusateur, — je n’aurais désormais, en aucun cas, à lui faire part de plus ou moins chimériques hypothèses… qu’il n’a plus qualité pour entendre, qu’il s’est interdit lui-même d’écouter.
Vous héritez, envers tous, d’un devoir inaccompli !
Allons donc ! L’intégrité vous égare ! Au soldat mort pour son devoir — aucun État — et le mien, ici, moins que tout autre, il me semble ! — n’a rien à réclamer de plus. Accomplie ou non, la tâche est terminée : et l’enfant de ce soldat n’hérita jamais des affaires de service militaire du défunt.
Il est des cas exceptionnels, imprévus, où tout gentilhomme est tenu, par sa seule noblesse, d’en déférer à son roi, dont le jugement est, seul, sans appel.
On oublie qu’il a prononcé. Qui suis-je, au dire même du roi ? « Le rejeton de celui dont l’équivoque