Page:Vimar - Le Boy de Marius Bouillabès.djvu/61

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« Ah ! mon ami, combien ces bottes étaient dignes de contenir, de protéger, de cacher pareil dépôt. Faites, quant à la claque, de fin poulain, elles avaient des tiges en peau de crocodile que j’avais moi-même tué sur les bords du Gange, et ces tiges se reliaient à la claque en de délicieuses arabesques du meilleur goût. Un cordonnier anglais d’une honnêteté scrupuleuse et dans lequel ma confiance était sans borne, fut chargé de placer entre la double semelle l’important document.



« Le matin du jour où il devait me rendre ce curieux