Page:Vimar - Le Boy de Marius Bouillabès.djvu/62

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

portefeuille, je reçus, à ma grande surprise, je dirai plus, à ma profonde terreur, la visite du pauvre ouvrier navré de m’avouer qu’au moment même où il allait envelopper les bottes qu’il devait me rapporter, elles avaient subitement disparu de l’étagère sur laquelle il les avait placées.

« Ce fut pour moi un effondrement.



« Je bondis dans la rue pour aller narrer cet événement néfaste à mes commettants, quand, tout à coup, sur une place publique, je vis ma botte gauche pénétrer rapidement