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sance à l’arme pour briser la pointe de l’épée adverse lorsqu’elle était engagée entre ce talon et l’un des quillons. Il suffisait alors de faire un demi-tour pour casser cette pointe. La pointe de la lame (voyez en E et en C) est renforcée et passe des plans droits aux plans convexes. En A, est tracée la face de la lame au talon, et en B son côté, grandeur d’exécution. La poignée, bien en main, est délicatement taillée dans de la corne et est ornée de petits clous d’argent. Les quillons et le pommeau sont d'acier (voyez le détail G,

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