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Page:Virenque - L'enclos du rêve, 1904.djvu/104

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l’enclos du rêve

JEUNE FILLE MODERNE
SON RÊVE

De mon pauvre cœur voici
Que nul ne prend le souci
Et ne fait la découverte.
Que nul ne prend le souci
Je laisse la porte ouverte,
Le premier passant venu
Pourra voir mon cœur tout nu.

Au ras de l’ombre il émerge,
Et sa forme pure et vierge
Apparaît, joyau vermeil,