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Page:Virenque - L'enclos du rêve, 1904.djvu/121

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chansons aux bien-aimées


J’ai bu la magique liqueur,
Et l’Amour, ce maître vainqueur,
Fit une blessure à mon cœur,
D’où la joie émerge et s’épanche.
Je le mets au bord du chemin
Par où vous passerez demain.
Puissiez-vous prendre en votre main.
Ce cœur lourd qui vers vous se penche.