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Page:Virenque - L'enclos du rêve, 1904.djvu/144

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l’enclos du rêve

Et le chêne s’endort dans sa sérénité,
Et la Nuit, sur son front, tisse de belles toiles,
Et les doigts bienfaisants et tendres de l’été
Le peuplent de berceaux, de chansons et d’étoiles !