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Page:Virenque - L'enclos du rêve, 1904.djvu/58

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l’enclos du rêve




À nos rêves cléments, à nos rêves très doux,
Qui laissèrent épars des souvenirs en nous,

[? Je vais ?] dire un adieu lourd de mélancolies,
L’adieu qu’on dit aux choses tendres accomplies.

Puis, pour les préserver de l’usure des jours,
Nous les renfermerons en nos cœurs pour toujours.

Ils seront l’oreiller des tendresses écloses
Où je mettrai ton front pour que tu te reposes.