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Page:Virenque - L'enclos du rêve, 1904.djvu/68

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l’enclos du rêve


Poèmes d’antan que mon cœur assemble
Les soirs, quand je fouille en l’ancien trésor,
Ma voix balbutie et ma lèvre tremble…
Souvenirs pâlis, qui fuyez, il semble,
Chers regards fanés de mes rêves d’or,
Mon enfance et vous dormez donc ensemble.