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Page:Visan - L’Attitude du lyrisme contemporain, 1911.djvu/479

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ANDRÉ GIDE AUTRE PROFESSEUR DE LYRISME

Introduction. — I. L’influence protestante dans l’œuvre d’André Gide. Qu’il faut étroitement la circonscrire. — II. L’ironie, son emploi bien moderne dans des œuvres de haut lyrisme. — Comment elle se mêle à l’intuition créatrice, non pour la tuer, mais afin de l’intensifier. — III. Les trois temps de la pensée de Gide. — Que le second temps est le plus important et, qu’à y regarder de près, notre auteur ne fait que chanter l’action et la joie. L’inquiétude et le désir, synonymes de plus d’être. — IV. Gide professeur d’enthousiasme. Comme quoi il nous fournit une pédagogie du lyrisme par sa méthode d’exalter les sens, l’intelligence et la volonté. — Que tout est en fonction des sens, chez lui, et que, partant, sa philosophie de la vie est basée sur des préceptes de lyrisme. — V. Gide individualiste : son désir d’être perpétuellement autre et de vivre dans une continuelle inquiétude. La haine de la satiété. Le surhomme. — VI. Comparaison obligatoire avec la méthode de Barrés. — VII. Toute la complexité mentale de Gide résumée et dramatisée dans le mythe de l'Enfant prodigue. — Conclusion 343