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Page:Vivien - Dans un Coin de Violettes, 1910.djvu/99

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essentielle


Et tu m’as emportée au fond même du ciel,
Ô toi que l’on adore, ô l’Être Essentiel !


Tes yeux ont le regard que n’ont point d’autres femmes…
Et ce fut, pour nous, comme une rencontre d’âmes.


Mon cœur nouveau renaît de mon cœur d’autrefois…
Que dire de tes yeux ? Que dire de ta voix ?


Ô ma splendeur parfaite, ô ma Toute Adorée !
La mer était en nous, unie à l’empyrée !