Page:Vivien - Les Kitharèdes, 1904.djvu/174

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
138
LES KITHARÈDES

II


Ἑρμᾶς τᾷδ' ἔστακα παρ’ ὄρχατον ἠνεμόεντα
ἐν τριόδοις πολιᾶς ἐγγύθεν αΐονος,
ἀνδράσι κεκμηῶσιν ἔχων ἄμπαυσιν ὁδοῖο ·
ψυχρὸν δ’ἀχραὴς κράνα ὕδωρ προχέει.


Moi, Hermès, je suis debout près du jardin ouvert aux vents, au croisement des trois chemins, près de la mer blanchissante, offrant aux hommes fatigués une halte dans leur route : et une source pure leur verse une eau fraîche.