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Page:Vivien - Poèmes, 1909.djvu/104

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À L’HEURE DES MAINS JOINTES


Ces temples où survit l’inutile sagesse…
Je te donne tout ce que j’ai vu, ma maîtresse !

Je reviens, t’apportant mes ciels gris ou joyeux,
Toi que j’aime, voici l’offrande de mes yeux.