Page:Vivien - Sapho, 1903.djvu/97

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


Les rayons maudits d’une fatale aurore
Virent autrefois l’implacable Beauté
Fleurir dans sa force inexorable, éclore
Dans sa cruauté.

Ô Psappha, voici que s’éteint la Pléiade.
Le vent clame, ainsi qu’une lyre de fer,
Un chant prophétique et sinistre, et Leucade
Assombrit la mer.