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Page:Vivien - Une femme m’apparut, 1904.djvu/238

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UNE FEMME M’APPARUT…

Je demeurai dans ma solitude troublée… Des étoiles chantaient au profond de l’Espace.

… Éva, très pâle, entra sans une parole et me tendit un papier… Puis, elle me quitta en un remuement de feuilles mortes.

Je lus, grâce à la pénombre :

J’attends dans le jardin.

L’étrange parfum, plus impérieux que jamais, m’attirait ainsi qu’un véhément appel. Je me levai, et me frayai un passage à travers les feuillages nocturnes.