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Page:Vivien - Une femme m’apparut, 1904.djvu/41

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UNE FEMME M’APPARUT…

sensible à tout ce qui n’était point son effroi mystique devant l’Inconnu. Et, pourtant, elle avait été la Sœur très blanche à qui j’avais confié jadis mes rêves inexprimables…