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Page:Vivien - Une femme m’apparut, 1905.djvu/140

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XXIII


J’appris que Nedda, ayant découvert la vérité, s’était enfuie de la maison où Lorély l’avait tenue enlacée.

Nedda s’était enfuie. Ses illusions étaient tombées une à une. Elle ne pouvait plus se mentir à elle-même, et Lorély n’avait pu jouer jusqu’au bout son rôle difficile. Peu à peu, très lentement, leurs bras s’étaient désunis.

Ce fut l’agonie lente d’une fin d’amour : ce