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Page:Vivien - Une femme m’apparut, 1905.djvu/153

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nous. Sache que j’ai toujours été loyale envers toi. T’ai-je prodigué de fausses protestations de tendresse ? Dès la première minute, je t’ai ouvert le néant de mon cœur. J’aurais voulu t’aimer, tu n’as point su m’inspirer l’amour que je souhaitais si vainement. »

Elle ajouta, mélancolique :

« L’amour que je ne trouverai jamais… »

Et elle disparut dans un frisson triste…