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Page:Vivien - Une femme m’apparut, 1905.djvu/182

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XXXIV


La nuit était laiteuse d’un étrange clair d’étoiles. Une lumière diffuse tombait du ciel. Et, un souffle très pur ayant écarté les rideaux, tout le clair d’étoiles neigea dans ma chambre…

Je ne dormais qu’à demi… Je flottais, entre le réel et le rêve, comme le cercueil trois fois sacré flotte entre la terre et le ciel.

Un songe s’épanouit sous mes paupières…