Page:Vivien - Une femme m’apparut, 1905.djvu/36

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

« Si tu m’aimes, tu ne regarderas ni en arrière ni en avant, tu ne sauras que moi, et ta destinée ne portera plus que mon empreinte.

« Si tu m’aimes, tu n’auras d’autres infinis que mes lèvres, d’autres prisons que mes bras, et de mon corps tu feras tous tes songes… »

Et je lui répondis en sanglotant :

« Je t’aime. »