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Page:Vivien - Une femme m’apparut, 1905.djvu/86

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XIV


Le vent d’est soufflait sur l’espace dénudé. Au tournant du chemin, je rencontrai la plus belle des amies de Lorély.

Doriane était brune comme Psappha elle-même. Ses yeux noirs avaient la couleur des ténèbres orientales, et sa gracilité recélait une force et une véhémence singulières. Elle était, d’habitude, repliée à la manière des fauves au repos.