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SANS FLEURS À VOTRE FRONT…



Vous n’avez point voulu m’écouter… Mais qu’importe ?
Ô vous dont le courroux vertueux s’échauffa
Lorsque j’osai venir frapper à votre porte,
Vous ne cueillerez point les roses de Psappha.

Vous ne verrez jamais les jardins et les berges
Où résonna l’accord puissant de son paktis,
Et vous n’entendrez point le chœur sacré des vierges,
Ni l’hymne d’Éranna ni le sanglot d’Atthis.