Page:Vogüé - Regards historiques et littéraires - 1900.djvu/311

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Ses yeux.

« Je savais des yeux… oh ! ces yeux ! — Combien je les ai aimés, Dieu seul l’a vu ! — De leurs ténèbres enchantées — je ne pouvais retirer mon âme.

« Dans ce regard insaisissable — qui dévoilait la vie jusqu’au fond, — on sentait une telle détresse, — un tel abîme de passion !

« Sous l’ombre épaisse de ces paupières — respirait quelque chose de triste et de profond, — comme la volupté, lassé ; — comme la souffrance, funeste.

« Et dans ces moments étranges — il ne m’est pas arrivé une seule fois — de les rencontrer sans trouble — et de les admirer sans larmes. »