510 POÉSIES MÊLÉES.
��A MONSIEUR CLÉMENT », f^*]^0>
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��(iUl AVAIT ADRESSÉ DUS VERS A l'aUTEUR, EN l' EXHORTANT A NE PAS ABANDONNER LA POÉSIE POUR LA PHYSIQUE.
Un certain chantre abandonnait sa lyre : Nouveau Kepler, un télescope en main, Lorgnant le ciel, il prétendait y lire, Et décider sur le vide et le plein. Un rossignol, du fond d'un bois voisin. Interrompit son morne et froid délire ; Ses doux accents réveillèrent soudain (A la nature il faut qu'on se soumette) ; Et l'astronome, entonnant un refrain, Reprit sa lyre, et brisa sa lunette.
��97. — ÉIMGRAMME.
On dit que notre ami CoypeP
Imite Horace et Raphaël :
A les surpasser il s'efforce.
Et nous n'avons point aujourd'hui
De rimeur peignant de sa force.
Ni peintre rimant comme lui.
��98. — ÉI>IGRAMME3.
(Janvier 1736.)
��On dit qu'on va donner Alzire. Rousseau va crever de dépit,
��\. Ces vers sont une réponse à Clément de MontpcUiei', qui avait envoyé à Vol- taire seize vers commençant ainsi :
Laisse Clairaut tracer la ligno.
2. Ce peintre a fait six volumes de pièces de théâtre.
d. Ces vers sont donnés comme inédits par l'abbé du Vernet dans sa Vie de Voltaire, chapitre ix des premières éditions; chapitre xi do la dernière, cfui est de 1797.
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